Aspirer et laver 60 m² en dix minutes. C’est la promesse de ce modèle sans fil multifonctions Kobold qui balaie, brosse et lave en même temps.
Le ménage, ça n’est pas très compliqué.
C’est du moins ce que prétendent ceux qui ne s’y adonnent pas souvent. Parce qu’après avoir fait la poussière, il faut sortir l’aspirateur pour ramasser tout ce qui est tombé sur le sol. On branche et on débranche l’appareil selon la longueur du fil ou la dimension de la surface à nettoyer.
Puis, si une zone de sol dur est à détacher, on s’équipe du matériel nécessaire et d’une bonne dose d’énergie pour frotter avec passion le carrelage. Le tout est, bien sûr, rythmé par des allées et venues entre la surface à nettoyer et le robinet pour changer l’eau de lavage. Efficace mais fatigant.
C’est pourquoi Kobold, marque de Vorwerk qui fabrique également le célèbre robot cuiseur Thermomix, a trouvé une idée intéressante. Celle de marier un aspirateur à une serpillière. Et, pour gagner en liberté, de faire fonctionner l’objet sans le brancher à une prise de courant. Ça tombe bien l’Allemand avait déjà lancé, il y a deux ans, le VK200, un aspirateur filaire doté d’une brosse de 3,6 kg baptisée DuoSpeed SP600 visant à laver les sols, et l’an passé un aspirateur balai sans fil, le VB100 assorti d’une brosse motorisée pour tapis et moquettes gentiment appelée EBB100.
Toutes les informations : https://www.vorwerk.fr/kobold/page-daccueil/
Revers de la médaille, ces sacs d’une contenance de 0,8 litre, vendus par lots de cinq pour 20 €, sont des consommables qui feront grimper le budget alloué au nettoyage.
Redoutablement efficace
À l’usage, ce Kobold se révèle redoutablement efficace. Très maniable coiffé de la brosse EBB100 et capable de se rendre plat comme une limande, il se glisse facilement sous les meubles et, si l’on a besoin de faire une pause ou de déplacer un objet, il tiendra seul, droit comme un i, en position parking. La technologie bimoteur du brosseur électrique, outre son efficacité, donne l’impression de tracter l’aspirateur qui se déplace presque sans le pousser.
De plus, il n’est pas question ici de gâchette à maintenir mais d’un bouton on/off. Votre index s’en trouvera soulagé. C’est très agréable. Mais le plus impressionnant se situe au niveau de la brosse DuoSpeed. Une fois la lingette en microfibres fixée, celle-ci va s’agiter à raison de 1350 tr/min. Autant dire que, même bien motivé, personne n’est capable de déployer une telle énergie dans le geste. De plus, le poids de la brosse est suffisamment conséquent pour frotter efficacement, sans peine. Le résultat est immédiat.
Pour utiliser ce mode serpillière, un produit spécial, recommandé par la marque, sera à mélanger à de l’eau de lavage et à verser dans un réservoir à l’intérieur même de la brosse. Cette dernière va aspirer les poussières du sol à l’avant et à l’arrière par deux bouches distinctes tandis que la lingette (au nombre de 3 pour s’adapter à chaque surface : carrelage, parquet, lino…) désincrustera les salissures.
Le degré d’humidification est contrôlable et le séchage rapide. Vorwerk met en avant le fait que son appareil consomme 50 fois moins d’eau et de produit d’entretien qu’une serpillière traditionnelle. Là aussi le travail est remarquable même si l’on aurait aimé pouvoir utiliser de l’eau bien chaude. Seule l’eau tiède est tolérée par le constructeur.
Et pour peaufiner plus encore le ménage, Vorwerk propose une belle palette d’accessoires en option, allant du flexible à la rallonge télescopique, en passant par un kit pressing et bien d’autres.
De quoi attaquer tous les terrains du nettoyage mais aussi faire grimper la facture.
Toutes les informations : https://www.vorwerk.fr/kobold/page-daccueil/
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Il ne restait plus qu’à mixer les deux pour rendre l’objet pratique. Pas facile. Car cet impressionnant VK200, affichant un poids de 3 kg (hors brosse) et des mensurations dignes d’un outil professionnel, s’il est redoutablement efficace quoi qu’un peu pataud, n’est pas facile à caser dans le placard de l’entrée et le côté filaire quelque peu handicapant.
Kobold: un mariage réussi
Pourtant, ce tour de force a été réalisé : la brosse DuoSpeed du colossal VK200 s’adapte maintenant sur la sylphide VB100 toujours accompagné de sa brosse motorisée pour tapis et moquettes EBB100, pour offrir un nouvel ensemble multifonction.
En un mot, cette nouvelle machine est un VK200 ayant subi une belle cure d’amaigrissement et s’étant débarrassée de son fil. L’alimentation passe donc maintenant par l’intermédiaire d’une batterie amovible lithium ion. Ceci permet une utilisation pouvant aller jusqu’à 50 minutes si on ne pousse pas la bête dans ses derniers retranchements. Notez qu’on peut toujours s’acheter une deuxième batterie si l’on veut poursuivre son travail.
En plus, quelle liberté de mouvement. Pour ce qui est d’aller attraper les toiles d’araignées au plafond en revanche, même si un embout deux en un est livré, le moteur étant logé dans le corps de l’appareil loin de la poignée, l’exercice demandera un avant-bras entraîné.
En ce qui concerne la récupération de la poussière, Vorwerk a choisi d’utiliser des sacs. C’est une bonne idée pour les personnes allergiques tant nombre de concurrents ont recours, dans leurs modèles balais, à une cuve de récupération désagréable à vider.
Revers de la médaille, ces sacs d’une contenance de 0,8 litre, vendus par lots de cinq pour 20 €, sont des consommables qui feront grimper le budget alloué au nettoyage.
Redoutablement efficace
À l’usage, ce Kobold se révèle redoutablement efficace. Très maniable coiffé de la brosse EBB100 et capable de se rendre plat comme une limande, il se glisse facilement sous les meubles et, si l’on a besoin de faire une pause ou de déplacer un objet, il tiendra seul, droit comme un i, en position parking. La technologie bimoteur du brosseur électrique, outre son efficacité, donne l’impression de tracter l’aspirateur qui se déplace presque sans le pousser.
De plus, il n’est pas question ici de gâchette à maintenir mais d’un bouton on/off. Votre index s’en trouvera soulagé. C’est très agréable. Mais le plus impressionnant se situe au niveau de la brosse DuoSpeed. Une fois la lingette en microfibres fixée, celle-ci va s’agiter à raison de 1350 tr/min. Autant dire que, même bien motivé, personne n’est capable de déployer une telle énergie dans le geste. De plus, le poids de la brosse est suffisamment conséquent pour frotter efficacement, sans peine. Le résultat est immédiat.
Pour utiliser ce mode serpillière, un produit spécial, recommandé par la marque, sera à mélanger à de l’eau de lavage et à verser dans un réservoir à l’intérieur même de la brosse. Cette dernière va aspirer les poussières du sol à l’avant et à l’arrière par deux bouches distinctes tandis que la lingette (au nombre de 3 pour s’adapter à chaque surface : carrelage, parquet, lino…) désincrustera les salissures.
Le degré d’humidification est contrôlable et le séchage rapide. Vorwerk met en avant le fait que son appareil consomme 50 fois moins d’eau et de produit d’entretien qu’une serpillière traditionnelle. Là aussi le travail est remarquable même si l’on aurait aimé pouvoir utiliser de l’eau bien chaude. Seule l’eau tiède est tolérée par le constructeur.
Et pour peaufiner plus encore le ménage, Vorwerk propose une belle palette d’accessoires en option, allant du flexible à la rallonge télescopique, en passant par un kit pressing et bien d’autres.
De quoi attaquer tous les terrains du nettoyage mais aussi faire grimper la facture.
Toutes les informations : https://www.vorwerk.fr/kobold/page-daccueil/
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